à la première tranche, c'est l'exaltation des matins.

Le jasmin s'étoffe, et lorsque je l'abreuve, son odeur sied au pantalon robuste que je porte. Je ne sais plus depuis quel moment je revêts la culotte longue, longtemps je n'ai pas eu la conscience du vêtement durable. Comme un apprêt de peau escorté de sens que j'enfilerais à l'inné, c'est le rappel de l'armure ― ma structure. Le bruit du frottement des corps qui se rejoignent n'illumine personne, et personne n'entend par là ― la vision immanente au toucher. À la quatrième tranche, la passion du soir, les hommes cherchent la vérité dans la trame fleurie des bouches ardentes. Je note le parfum obsessionnel d'une interrogation